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J’N.C. avais desC siné, sur le E7sable,
son doux viF sage, qui me G7 souriait.
N.C. Puis il a C plu, sur cette E7 plage,
dans cet orF age, elle a dispaG7ru.
Et j’ai criC é, criE7 é, AF line, pour qu’elle reG7 vienne.
Et j’ai pleurC é, pleurE7 é, oh j’F avais, trop de G7 peine. N.C.
Je me suis assC is auprés de son E7âme,
mais la belle F dame s’était enfG7 uie.
N.C. Je l’ai cherchC ée sans plus y E7croire
et sans un esF poir, pour me guiG7der.
Et j’ai criC é, criE7 é, AF line, pour qu’elle reG7 vienne.
Et j’ai pleurC é, pleurE7 é, oh j’F avais, trop de peG7 ine. N.C.
Je n’ai gardC é que ce doux viE7 sage.
Comme une épF ave sur le sable mouillG7é.
Et j’ai criC é, criE7 é, AF line, pour qu’elle reG7 vienne.
Et j’ai pleurC é, pleurE7 é, oh j’F avais, trop de peG7ine. 𝄇